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La traduction assermentée : plus compliquée qu’il n’y parait

Dans le cadre des dossiers internationaux, il est probable que vous soyez amené à voir recours à une traduction assermentée pour un ou plusieurs de vos documents. La plupart l’ignorent, mais il s’agit d’une traduction qui implique une procédure beaucoup plus longue que celle d’une simple traduction libre.

La traduction assermentée : à partir de l’original ou de la copie ?

Pour obtenir une traduction assermentée d’un extrait Kbis ou d’autres documents, le pays de destination exige le plus souvent que la traduction soit réalisée à partir de l’original et non avec une photocopie. De manière concrète, cela signifie que le traducteur assermenté devra apposer son tampon et sa signature sur le papier original fourni et non sur une copie de papier de l’original. Il faudra alors faire parvenir l’original du document et ceci est à prendre en compte dans les délais de réalisation. À noter qu’en France, les traductions qui sont réalisées à partir d’une copie sont le plus souvent acceptées. Cependant, il vaut mieux demander à l’autorité chargée de recevoir le document si elle exige une traduction à partir de la copie ou de l’original.

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Il est nécessaire d’avoir un document définitif

Il s’agit par là d’un aspect à prendre en compte, c’est le traducteur peut exiger d’avoir l’original du papier avant de commencer le travail de contestation. En effet, ceci est une conséquence du fait qu’il n’y a aucune garantie que le fichier envoyé initialement par courrier électronique va correspondre au document qui sera reçu en version papier. Du coup, si les différences entre le document PDF et de l’original sont très importantes, le traducteur assermenté risque de revoir en profondeur sa traduction, voire la recommencer. Il est alors préférable que le document à traduire soit dans sa version finale au moment où le traducteur commence son travail. Une fois traduit, certifié et envoyé, le document ne pourra plus être modifié par http://www.adt-international-marseille.fr/traduction-assermentee/.

La légalisation et obtention de l’apostille

Une fois que vous aurez reçu la traduction, la procédure ne s’arrête pas là. En effet, si la traduction doit être utilisée à l’étranger, il sera surtout nécessaire de procéder à la légalisation de la signature du traducteur assermenté qui figure sur le papier original et celui traduit. Cette légalisation est réalisée par une mairie du domicile du traducteur, par un notaire ou par une chambre de commerce et d’industrie. À noter que les conditions sont très strictes aussi bien pour la traduction que pour la légalisation.

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