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L’investissement en résidence senior : un investissement rentable et solide

C’est un constat qui se confirme d’année en année. Une étude récente a d’ailleurs publié des chiffres : d’ici 2020, plus de 800 résidences seniors devraient voir le jour soit l‘équivalent de 70 000 logements.

Cette tendance se confirme donc et fait réfléchir de plus en plus de monde sur sa rentabilité car l’ investissement en résidence senior possède de sérieux atouts.

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Voyons d’abord quels sont les atouts pour un investissement en résidence senior réalisé par un particulier .

A la campagne ou dans les zones proches des villes, les besoins en logements intermédiaires, spécialement adaptés aux seniors sont exponentiels et avec l’arrivée de la classe d’âge du “baby-boom “ dans la classe des seniors, cette demande va augmenter de façon considérable.

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La possibilité de vivre dans un habitat regroupé et innovant apparaît comme une solution séduisante. Une estimation est faite d’ici la fin de 2018, plus de 130 nouveaux projets devraient voir le jour.

Ensuite, quelles sont les incitations fiscales pour attirer un nombre important de personnes vers ce type d’investissement ?

Les dispositifs fiscaux, économiques et juridiques sont très incitatifs et multiples.

On peut investir via la loi Censi Bouvard qui va perdurer jusqu’à fin 2017 mais on peut aussi le faire via le statut LMNP c’est à dire la location de logements meublés à titre non professionnel. On peut aussi agir en tant que loueur de meuble non professionnel.

La loi sur l’adaptation de la société au vieillissement sécurisé appelée l’ASV, sécurise le cadre juridique et par delà même les investissements en résidence senior.  

Quels sont les soutiens pour faire de l’investissement en résidence senior ?

Autre atout soutenant l’investissement en résidence senior : les acteurs du marché sont souvent des institutionnels comme les assureurs, les banques, les caisses de retraite, ou encore les collectivités locales.

La chute des taux d’intérêts  ainsi que le manque d’attractivité pour des logements plus conventionnels les ont fait changer d’avis. Il peut même arriver que des élus sollicitent directement les exploitants.